Notre confession de Foi

Lecture théologique de l’Alliance sur 3 niveaux 


Voir : King, Paul L. What does the Alliance really believe ? Owasso, Oklahoma, USA : Alliance Heritage Press/Paul King Ministries, 2022.

(Ce texte est le fruit du travail de réflexion effectué lors depuis le GPUNI 2023)


Avant-propos
L’Alliance Chrétienne Missionnaire “Christian and Missionnary Alliance” est un mouvement évangélique centré sur Jésus et sa Parole et qui a mis la Mission de Dieu au cœur de sa pensée et de ses œuvres. Au départ, l’Alliance n’avait pas prétention à être une dénomination confessionnelle ou doctrinale. Elle n’est pas née non plus d’une expérience spirituelle ou gravite autour d’un leader. Mais l’Alliance est avant un mouvement missionnaire. Et cela va conditionner sa théologie.
La particularité théologique de l’Alliance est qu’il n’existe pas de théologie propre à l’Alliance contrairement aux autres dénominations (baptistes, Luthéro-réformée ou pentecôtiste pour n’en citer que quelques-unes). Mais nous pouvons dire que la théologie de l’Alliance peut à la fois englober toutes les théologies évangéliques et ne pas s’en réclamer d’une en particulier.
Certains pourraient dire que le fait de ne pas avoir de théologie propre à l’Alliance peut être une faiblesse mais nous verrons que son approche théologique sur 3 pans donne un nouvel angle de vue globale à la théologie et un espace pour vivre l’unité évangélique en vue de la mission.
Comme tout mouvement, elle a ses forces, ses faiblesses, ses limites, mais également ses atouts.


Faire Alliance en vue de la mission
L’Alliance, c’est avant tout un état d’esprit, celui de se rassembler autour des vérités fondamentales de l’Evangile en vue d’annoncer Jésus. Il est important en tant qu’Alliance de mettre en avant à la fois ce qui est non négociable et ce qui peut être discuté. Tout ceci en vue de permettre l’annonce de l’Evangile sans négliger la vérité doctrinale.

Une déclinaison sur 3 aspects
Nous nous inspirons des exemples suivants :
Les 2 plus grands commandements sont Aimer Dieu et aimer son prochain comme soi-même. Mais ces 2 commandements ont été déclinés au travers du temps et des circonstances. Les 10 commandements reprennent ces 2 commandements. Mais eux—mêmes ont été précisés dans les livres de l’Exode, des Nombres et du Lévitique et mis à jour dans le Deutéronome avant l’entrée en Terre Promise.
En Romains 14, Paul traite des différences de convictions très importantes mais qui ne doivent pas diviser les chrétiens.
En Galates 1 par contre, Paul tranche nettement car la vérité est en jeu.
Nous parlerons de 3 aspects, de pans ou même de niveaux même nous ne souhaitons pas sous-entendre qu’ils s’agiraient de points secondaires. Chaque sujet a son importance mais il convient d’avoir une juste appréciation de celui-ci.

Niveau A : les doctrines évangéliques non négociables
Il s’agit des doctrines de base du christianisme et de la foi évangélique, tels que par exemple :
Le symbole des apôtres
Les 5 solas de la Réforme.
La trinité, autorité et inerrance des Écritures comme étant pleinement 100 % parole de Dieu, 100 % parole humaine, entièrement inspirée, seule et unique référence en matière de vie et de foi.
La personne et l’œuvre de Jésus, Dieu fait homme.
Le salut par la foi seule qui implique les œuvres et la sanctification.
Le pain et le vin comme symbole du corps et du sang du Christ.
Le retour personnel, glorieux et visible de Jésus.
L’éthique chrétienne biblique.

Niveau B : les doctrines spécifiques à l’Alliance et à l’AECMF
Ce sont des doctrines qui ne sont pas de l’ordre du non négociable. L’Alliance et l’AECMF ont opté pour des options théologiques. Les divergences d’opinion sur ces doctrines ne remettent pas en cause la communion fraternelle et ne doivent pas être source de division. Nous sommes conscients que d’autres groupes évangéliques auront leurs propres spécificités du fait de leur histoire, leur contexte et les défis auxquels ils ont été confrontés. Mais nous sommes conscients que ces choix doctrinaux ne sont pas de l’ordre du non négociable évangélique et que ces options peuvent être discutés et ne font pas l’objet de division.

Niveau B1 : il y a tout d’abord les doctrines spécifiques à l’Alliance : son histoire et ses origines, son évolution, une référence particulière à la personne, au parcours et à la théologie de son fondateur Albert B. Simpson (qui a évolué également), le logo de l’Alliance qui met en avant l’Evangile à quatre aspects (Jésus-Christ comme notre Sauveur, celui qui sanctifie, celui qui guérit, et qui revient comme Roi), la vie spirituelle profonde de la sanctification, la place fondamentale de la mission, le crédo baptisme. La place et l’œuvre du Saint Esprit dans la vie du croyant, de l’Eglise et de la mission même si l’Alliance ne fait partie de la mouvance Pentecôtiste.


Niveau B2 : il y a aussi des spécificités propres à l’AECM FRANCE : au regard de son parcours, de son contexte et de ses réseaux, l’AECMF a aussi certaines spécificités en plus de celles de l’Alliance historique telles que :
La confession de foi de l’AECMF, article 11 : le prémillénarisme à l’origine de l’Alliance a été maintenu. Or, nous savons que dans le reste du monde, certaines unions d’églises se réclamant de l’Alliance a renoncé à mettre le prémillénarisme dans leur confession de foi.
Le fait que l’AECMF appartienne au Réseau Fraternel Evangélique Français et soit présente dans les instances de l’Institut Biblique de Genève a des implications théologiques également. Il a été retenu que l’expérience unique du don de l’Esprit Saint se fait à la conversion. En ce qui concerne l’ecclésiologie, la direction collégiale de l’Eglise est réservée aux hommes (Pasteur et ancien). Mais ceux-ci s’entourent d’hommes et de femmes qui exercent les dons que le Seigneur leur a confié.
Nous savons que dans d’autres pays où la famille de l’Alliance est présente, les doctrines spécifiques peuvent être différentes de celle de l’AECMF. Par exemple : certaines églises nationales de l’Alliance n’ont pas gardé le prémillénarisme, sont plus souples quant à la compréhension du don de l’Esprit sans pour autant être pentecôtiste ou plus ouvert quant au ministère pastoral féminin. 
Mais cela ne nous empêche pas de tous faire partis de la famille mondiale de l’Alliance et de garder le lien avec l’Union mondiale de l’Alliance et les autres pays qui ne partagent pas le même contenu doctrinal particulier que nous avons.
En France également, nous faisons partis du Réseau FEF, mais cela ne nous empêche pas dans une certaine mesure de collaborer avec les évangéliques au sens large comme au sein du CNEF (Conseil National des Évangéliques de France). 
D’une manière générale, au sein de nos églises, si des personnes n’adhèrent pas à ces doctrines du niveau B, nous ne dirons pas qu’elles ne seront pas sauvées ou que cela doit remettre en cause la communion fraternelle. Nous pouvons rester en bons termes sans pour autant dire qu’ils sont dans l’erreur, hérétique ou libéraux. Mais même si ces doctrines du niveau B peuvent être discutées, ce sont les orientations qui ont été choisies par l’AECMF.
Nous avons des personnes qui fréquentent nos églises et qui deviennent membres sans partager ces spécificités du niveau B. Dans ce cas, nous les invitons à ne pas créer de dissensions, à ne pas remettre en cause les particularités de l’AECMF et à ne pas entrer dans des débats houleux et sans fin.
Il est souhaitable que chacun rejoigne l’église ou l’union qui sera la plus en phase avec ses convictions personnelles. Cela facilite les échanges et on peut se concentrer sur l’annonce de l’Evangile. Mais il est tout à fait possible d’être ensemble dans une église ou une union où les convictions partagées par le plus grand nombre ne reflètent pas les nôtres à condition que tout le monde garde un esprit de fraternité malgré les divergences d’opinions sur des points non négociables.


Niveau C : toutes les autres doctrines qui ne sont ni au niveau A ni au niveau B. Ce sont les doctrines où l’Alliance n’a tranché et n’a pas statué sur une position en particulier. Ce ne sont pas forcément des doctrines secondaires, bien au contraire. Mais sur bien des doctrines, il y a plusieurs positions et l’AECMF a décidé de ne pas jouer le jeu des étiquettes ou de trancher sur la question.
Exemples : au sujet de la perte du salut ou de la persévérance des saints, l’AECMF est-elle plutôt calviniste ou arminien ? Il ne s’agit pas d’une doctrine secondaire, bien au contraire. Mais il n’a jamais été défini que l’Alliance soit dans l’une ou l’autre de ces positions. Les deux positions théologiques sont présentes dans l’Alliance.
Autres exemples, cessassionniste ou continuationniste ? L’AECMF reprend à son compte ce qu’il y a de commun aux deux positions sans tomber dans des extrêmes et nous croyons que Dieu peut faire des miracles aujourd’hui, que le Saint Esprit agit encore dans l’église sous le garde-fou de la Parole de Dieu.
Une fois encore, pour ce niveau C, si des personnes ou des églises ont des positions différentes sur ces points de doctrine, il est possible de maintenir la communion fraternelle, sans dire pour autant que les autres sont hérétiques ou qu’ils sont dans l’erreur ou libéraux ou légaliste. Il convient juste de tenir compte du cadre global du niveau A.

Précisions
Une doctrine peut se décliner sur les 3 niveaux
Une doctrine peut avoir à la fois des éléments dans plusieurs niveaux, voir même les 3.
Par exemple, nous avons évoqué le Salut par la grâce (Niveau A) mais le débat entre arminiens et calviniste (niveau C) demeure, avec toutes les implications pratiques que cela peut engendrer. Nous pourrions également aborder la question de savoir pour qui Jésus est-il mort ? Est-ce pour tout le monde ou bien uniquement pour les élus ? 
Par exemple : concernant la place des femmes dans l’Eglise. Au niveau A, nous avons les doctrines fondamentales sur le rapport homme-femme, le sacerdoce universel. Au niveau B, l’AECMF a opté pour le fait que le ministère pastoral et celui d’ancien sont pour les hommes. Mais il existe bon nombre d’activités que les hommes et les femmes peuvent exercer et qui se retrouvent au point C.
On pourrait utiliser cette grille de lecture pour d’autres sujets comme : Est-ce qu’une femme peut présider un culte, l’alcool, comment interpréter la genèse, la fréquence de la Sainte Cène dans l’Eglise, le fonctionnement congrégationalisme, synodale ou pyramidale, etc.

Cela ne signifie pas que nous devons renoncer à toute position théologique ou éviter d’en discuter
Cet état d’esprit de l’Alliance permet justement d’avoir un espace de liberté où l’on peut s’exprimer librement et défendre son opinion sans être accusé d’hérétiques, sans forcer l’autre, où l’on peut trouver sa place, voir même quitter l’Alliance sans être en froid avec elle.
Le niveau A est non négociable. Mais dans les niveaux B et C, les personnes qui ont une position tranchée sur un sujet précis peuvent l’évoquer librement, mais jamais dans le but de dénigrer ou de mépriser l’autre. Il n’est pas question d’obliger les personnes à renoncer à leurs convictions, ni d’encourager à vivre sans conviction, d’avoir impérativement une position ou de constamment relativiser. Chaque position doctrinale peut être enseignée mais toujours en gardant en tête l’état d’esprit de l’Alliance et les spécificités de l’AECMF.
Cette façon de voir les choses ne doit pas non plus nous empêcher de réfléchir et de faire de la théologie en profondeur. Une fois que nous connaissons le cadre de lecture théologique de l’Alliance, nous sommes encouragés à approfondir les réflexions théologiques, pratiques et missiologiques, mais sans jamais perdre de vue la globalité et le comportement adéquat.

Rien n’est figé au niveau B et C
Nous voyons que les doctrines des niveaux B et C forment des listes qui ne sont ni exhaustives ni figées. Nous savons qu’il est possible de faire bouger les lignes et qu’une doctrine peut passer d’une catégorie à l’autre pour les niveaux B et C car nous ne sommes pas dans ce qui est non négociables.
Nous sommes sans cesse à l’écoute de la Parole de Dieu et dirigée par Jésus et son Esprit. Il convient de ne pas se contenter des acquis et des traditions, ni de s’exempter d’un travail de réflexion théologique approfondie ou d’être simplement influencé par le monde, les tendances, les cultures ou les circonstances. La Parole de Dieu reste notre seule et unique référence en matière de vie et de foi. L’Esprit Saint nous invite à écouter, réfléchir et discerner ce que nous devons croire et vivre selon les Ecritures. Et nous avons à le faire ensemble.

En résumé
Le niveau A représente le bon dépôt. Nous signalons au passage que nous sommes en retrait par rapport au mouvement œcuménique.
Au Niveau B, ce sont les spécificités de l’Alliance ou de l’AECMF qui ne remettent pas en cause le Salut et la communion fraternelle.
Au niveau C, ce sont les doctrines où l’AECMF ne tranche pas en faveur d’une position ou d’une autre. Cela ne remet pas non plus en cause le Salut d’une personne et la communion fraternelle.
La théologie de l’Alliance est avant tout un état d’esprit qui invite à proclamer et défendre ce qui est non négociable et prendre position lorsque cela est possible sur certaines doctrines. Elle nous encourage à être ouvert à la discussion et à la compréhension mutuelle pour certaines doctrines en vue d’éviter les incompréhensions et les conflits, le tout pour annoncer l’Evangile. Ce qu’il faut éviter, c’est de tout mettre au niveau A. Ce que nous encourageons à faire est un travail de discernement sur ce que nous croyons.
En dehors des doctrines évangéliques fondamentales et non négociable, ce qui est dangereux, ce n’est pas d’avoir telle ou telle position doctrinale, mais pour l’AECMF, ce qui est néfaste, c’est le comportement et l’attitude qui font que nous nous bataillons sur des doctrines discutables et nous nous critiquons les uns aux autres au dépend de l’annonce de l’Evangile. Cela discrédite notre témoignage et engendre des divisions. L’attitude qui tend à diviser est bien plus dangereux pour l’église que les positions doctrinales en elles-mêmes. Que le Seigneur nous aide à être juste et équilibré et à faire la part des choses pour ne pas nous tromper de combat tout en défendant la vérité et annoncer l’Evangile.

Notre confession de Foi
  1. Il y a de toute éternité un seul Dieu (Dt. 6.4) en trois personnes : le Père, le Fils, le Saint-Esprit (Mt. 28.19).  Il est parfait et infini à tous égards (Mt. 5.48).
  2. Jésus-Christ est à la fois vrai Dieu et vrai homme (Php. 2.6–11).  Il a été conçu du Saint-Esprit et Il est né de la vierge Marie (Luc. 1.34–38).  Il est mort en sacrifice sur la croix (Heb. 2.9—Heb. 9.24-26),  en se substituant Lui juste pour les injustes (I P. 3.18).  Tous ceux qui croient en Lui sont justifiés par son sang répandu (Rm. 5:8).  Il est ressuscité des morts le troisième jour selon les Écritures (Ac.2.23–31—I Cor. 15.4).  Il est notre souverain sacrificateur, (Heb. 8.1) et comme tel il siège maintenant à la droite de la Majesté divine. Il reviendra pour établir son royaume de justice et de paix (Dan. 7.13-14—Mt. 26.64).
  3. Le Saint-Esprit est une personne divine (Jn. 14.15–18), envoyée pour demeurer dans le croyant, pour le guider, l’enseigner, lui donner de la puissance (Jn. 16.13—Ac. 1:8) et pour convaincre le monde de péché, de justice et de jugement (Jn. 16:7–11).
  4. L’Ancien et le Nouveau Testament, sans erreur dans leur rédaction originelle, ont été inspirés verbalement par Dieu, et sont la révélation complète de sa volonté pour le salut des hommes. Ils constituent la divine et seule règle du chrétien en matière de foi et de vie (II P. 1.20–21—II Tim. 3.15–17).
  5. L’homme fut originellement créé à l’image et à la ressemblance de Dieu (Gen. 1.26-27).  Sa désobéissance entraîna sa chute, et il encourut ainsi la mort physique et spirituelle. Tous les hommes naissent avec une nature pécheresse (Ecc. 7.20—Rom. 3.23), sont séparés de la vie de Dieu et ne peuvent être sauvés que par l’œuvre expiatoire du Seigneur Jésus (I Cor. 15.20–23—I P. 1.18-19). Le sort des impénitents et des incroyants est une existence consciente dans un éternel tourment (Ap. 21.8); celui du croyant une joie et une félicités éternelles (Ap. 21.1–4).
  6. Le salut est offert gratuitement par Jésus-Christ à tous les hommes. Ceux qui se repentent et qui croient en Lui naissent de nouveau par le Saint-Esprit ; ils reçoivent le don de la vie éternelle et deviennent les enfants de Dieu (Jn. 1.12-13—Jn. 3.3-7, 16—Tt. 3.4–7).
  7. Dieu veut que chaque croyant soit rempli du Saint-Esprit, entièrement sanctifié (esprit, âme et corps), séparé du péché et du monde, totalement consacré à la volonté de Dieu, recevant ainsi la puissance nécessaire pour une vie sainte et un service efficace. Cette prise de conscience de la nécessité de la sanctification, en général distincte de la conversion, confirme une croissance normale et permet un développement progressif (Eph. 5.18—I Th. 5.23—Ac. 1.8—Rm. 6.1–14).
  8. L’œuvre rédemptrice du Seigneur Jésus-Christ inclut la guérison de notre corps, laquelle ne sera complète qu’à la résurrection (Es. 53.4-5—Mt. 8.16–17). La prière pour les malades et l’onction d’huile, prescrites dans l’Ecriture, demeurent des privilèges pour l’Eglise d’aujourd’hui (Jc. 5.13–16).
  9. L’Eglise comprend tous ceux qui croient au Seigneur Jésus-Christ, sont rachetés par son sang et sont nés du Saint-Esprit. Christ est la tête du corps, l’Eglise (Eph. 1.22–23), à qui le Seigneur a donné l’ordre d’aller par tout le monde, prêchant l’Evangile à toutes les nations (Mt. 28.19–20).  L’église locale est un groupe de croyants en Christ qui se réunissent pour adorer Dieu, par la prière, la communion fraternelle, la proclamation de l’Evangile et l’observation des ordonnances du Seigneur, à savoir le baptême et la Sainte-Cène (Ac. 2.41–47).
  10. Il y aura une résurrection corporelle pour les justes et les injustes : pour les premiers, une résurrection pour la vie éternelle (I Cor. 15.20–23—Ap. 20.4-6); pour les seconds, une résurrection pour le jugement (Jn. 5.28–29—Ap. 20.11-15).
  11. Le retour du Seigneur Jésus-Christ est proche et sera personnel, visible et glorieux (Mt. 25.31—Ac. 1.11—Heb. 10.37). Il précédera le millénium (Luc 21.27-31 ; Ap. 19.11-16 ; Ap. 20.4). C’est une vérité vitale qui constitue un stimulant pour une vie sainte et un service fidèle, en même temps que l’espérance bénie du croyant (Mt. 24.14—Tt. 2.11–14—I Jn. 3.2-3).